Droit de réponse à la lettre rédigée par « Gabon-USA_Diaspora Unie Autour de L'Ambassadeur », datant du 14 décembre 2011 et reçue le 19 décembre 2011.
Nous apportons quelques éléments de réponses à la lettre propagandiste, tout aussi minable et bourrée de fautes, de certains Gabonais vivant aux États-unis, qui, pour protéger leur « petite vie » et leurs minables privilèges, sont prêts à galvauder les principes démocratiques et à vomir sur le peuple gabonais qui se bat chaque jour pour survivre dans la misère que leur imposent ces riches du régime dictatorial en place au Gabon.
Nous voulons d’abord rappeler aux communautés gabonaise et internationale que l’incident qui a eut lieu le 9/12/2011 devant l’Ambassade du Gabon à Washington D.C. est regrettable et que nous n’avons jamais prôné la violence; au contraire, nous la subissons depuis fort longtemps avec le régime politique de Libreville. Néanmoins, il est important de souligner que l’incident impliquant un compatriote et l’Ambassadeur du Gabon aux États-unis était limité à deux individus. Il est donc insensé et malhonnête d’insinuer autre implication. Nous rappelons aussi que nous préférons laisser la justice américaine faire son chemin dans ce dossier.
Au demeurant, nous qui pensions avoir été assez surpris auparavant par les propagandistes du PDG, sommes encore très surpris de constater que les représentants du Parti Démocratique (sic) Gabonais (PDG) aux États-unis (et au Gabon d’ailleurs) n’ont jamais été indignés avec, leur dernière énergie (comme ils s’amusent un peu trop à le dire), lorsque, sous le coup d’état électoral d’Ali Bongo Ondimba, leur président, un ordre fut donné de tirer sur des Gabonais à la Cité de la Démocratie, alors que le peuple attendait pacifiquement les résultats de la présidentielle de 2009. Deux candidats à ces élections avaient alors été violement agressés, notamment Pierre Mamboundou Mamboundou et André Mba Obame. D’autres personnes furent blessées ou finirent par respirer des quantités élevées de gaz asphyxiants, au dépend de leur santé à moyen et long termes. Que dire des violentes agressions par les forces de sécurité envoyées par le régime du bord de mer, qu’ont subit de paisibles Gabonais à 5h du matin, au siège du PNUD à Libreville? Cela vous a-t-il indigné? Bien sûr que non.
Pire encore, nous attendons toujours que ces Gabonais du PDG, qui aujourd’hui vouent un culte à « leur Ambassadeur », soient indignés, avec leur dernière énergie, des morts de Port-Gentil, suite au hold-up électoral de 2009. Ces jeunes qui n’avaient aucune arme, ont été tués par les militaires comme des vulgaires animaux (nous leur rappelons de regarder les vidéos sur Youtube pour se rafraîchir la mémoire). Mais rien; silence; laissez le PDG avancer! Pour ces Gabonais indignes du PDG, la mort des Gabonais sous les balles des militaires ne vaut pas mieux que l’incident impliquant de « leur Ambassadeur »! Vous devriez avoir honte! Mais malheureusement, vous avez vendu votre dignité aux chiens!
Dans leur lettre, les représentants de « Gabon-USA Diaspora Unie Autour de L'Ambassadeur », prétendent que cet Ambassadeur est « leur Ambassadeur », voilà une preuve de plus du mépris de ces Gabonais zélés qui croient que le Gabon leur appartient. Nous leur rappelons humblement que dans un pays sérieux, un Ambassadeur n’appartient pas à un groupe d’individus, fussent-il membres du PDG, mais à bien tous les citoyens, les Gabonais dans notre cas. Les déclarations de ces élucubrateurs du PDG sont inadmissibles et ne font que montrer le caractère bananier qu’ils donnent à la République gabonaise. Nous n’adhérerons jamais à ce genre de vision idolâtrique et minable d’un Ambassadeur et encore moins d’une nation.
Par ailleurs, quel ne fût pas, est encore une fois, notre étonnement de voir, dans la liste des personnes qui « s’indignent » jusqu’à leur dernière énergie (sic) concernant l’incident impliquant l’Ambassadeur, des noms de personnes qui ne résident plus aux États-Unis. En mettant les noms de ces gens dans la liste des signataires de cette lettre honteuse, on fait croire à l’opinion que ces personnes résident tous aux États-unis pour en constituer une partie de la diaspora gabonaise dans ce pays. Nous espérons que les vrais signataires de la lettre ont pris la peine d’informer tous les individus dont les noms figurent sur cette lettre, car leurs noms seront connus du grand public. Nous espérons surtout que ce n’est pas, encore une fois, un cas d’usurpation d’identité à des fins politiciennes, comme sont devenus maîtres, pour ne pas dire « docteurs » (pour emprunter une expression de J.B. Assélé) en fraude, les gens du PDG. Nous reconnaissons que c’est dans les mœurs, mieux l’ADN des « pédégistes », de faire voter des gens qui ne sont plus ou encore qui résident ailleurs. Bref, la manipulation des identités.
Pour terminer, nous aimerions rappeler à ces « indignés, bébés gâtés gabonais », que les États-unis, c’est état de droit (contrairement à la récitation des pédégistes sur le Gabon) et que la justice suivra son cour dans l’incident qu’ils essaient maintenant d’exploiter honteusement. Tout le blabla habituel et pompeux qu’ils ont mis dans leur lettre ne vaut rien. Ils feront mieux se calmer les pompons et de laisser la justice, une vraie, faire son travail. Les États-unis, ce n’est pas le Gabon des Bongo.
Chers Gabonais du PDG-USA, à votre place, je ferais mieux de rester tranquille, car vous et « votre Ambassadeur », pourrez devoir répondre aux questions du FBI et d’autres services de renseignements américains sur la gestion de « votre pays » et la corruption. À tire d’exemple, une enquête du Sénat américain publiée en 2010 dans un rapport intitulé: «Garder La Corruption Hors des États-Unis: quatre cas", nous rappelle un passé peu glorieux de votre « demi-Dieu » d’Ambassadeur. Ce document nous rappelle, en page 122, concernant l’«Achat d'avions C-130" : «Vers la même époque que M. Birrell a déposé la demande, il a transféré près de $750 000 en frais de consultation à des personnes hors des États-Unis. Le 16 Novembre 2005, Le compte client du groupe Grâce a viré 496 500 $ à Michael Moussa sur un compte de la Banque Rothschild à Monaco. La documentation du virement inclus les notations: "agrément de consultation ». C’est bien une citation; à méditer.
(voir liste des documents du Sénat américain faisant rapport sur la corruption du régime gabonais)
(voir liste des documents du Sénat américain faisant rapport sur la corruption du régime gabonais)
Nous ne perdrons pas notre temps à vous suivre par lettre interposée. Nous pensions faire cette petite mise à point, car votre lettre ne vaut rien et il fallait vous le rappeler une fois. Nous vous laissons dans votre dérive idolâtrique envers « votre Ambassadeur ». En fait, nous savons que les Gabonais ont d’autres préoccupations plus importantes. Le peuple vient d’ailleurs d’envoyer un message clair à votre régime avec plus de 90% d’abstention aux élections législatives du 17 décembre 2011. Voilà de vrais messages que des politiciens ou citoyens sérieux doivent écouter. Les Gabonais vous parlent, continuez à faire votre sourde d’oreille, avec « votre Ambassadeur »!
Qui vivra, verra.
La Panthère Noire.
La Panthère Noire.
Petit film pour nos "amis", à regarder avant votre petit dodo
Copie de la Lettre avec les signataires
Croquemitaine et mange mil de nouvelle génération, ne toucher pas à notre Ambassadeur:
Les tolets de réjouissance observés dans certains réseaux sociaux tendance opposition sur internet suite à l’agression verbale et physique dont a été victime Son Excellence Michael Moussa Adamo, Ambassadeur Extraordinaire été Plénipotentiaire du Gabon aux Etats-Unis d’Amérique, n’honorent points ces différents auteurs d’autant plus que ces derniers se veulent être des soi-disant défenseurs et ou combattants de la démocratie au Gabon. Ces comportements délétères nous interpellent tous.
En effet, comment peut-on justifier l’injustifiable et s’en réjouir ? Comment prétendre vouloir se battre pour le mieux-être de tous, pour la démocratie, pour un état de droit et faire l’apologie de la violence comme moyen d’action? N’est-ce pas encourager l’arbitraire, la loi de la jungle, les règlements de compte fratricide, et l’état permanent de tension politique et sociale dans la maison Gabon? Comment peut-on vivre la conscience tranquille face à pareil comportements belliqueux et bellicistes?
Pour tous croyants ayant en-soi la crainte de DIEU, pour tous citoyens lambda épris de civisme , et pour tous responsables politiques de premier plan qui aspirent à la magistrature suprême, le sens élevé inné du respect des Symboles et des Institutions de l’Etat, conduit à condamner sans hésitation pareil acte d’agression et à demander que justice soit faite avec la plus grande des célérités et sévérités. Exemple doit être fait pour que plus jamais cela ne se reproduise.
En l’espèce, l’agresseur est connu pour être sans état d’âme, prompt à foncer dans les brancards sans crier garde. Un faisceau concordant de preuves matérielles lui vaut la paternité d’actes criminels antérieurs tel que le saccage des biens meubles de la chancellerie diplomatique à Washington DC assortie d’une période de probation avec interdiction formelle de s’en approcher, ou encore la profération de menace physique envers les plus hautes autorités gabonaises devant des officiels américains assermentés. A cela s’ajoute, de forts soupçons d’incendiaire patenté sans oublier les actes de faux et usage de faux, d’usurpation d’identité sur des réseaux sociaux, à des fins diffamatoires et de dénigrement des autorités gabonaises.
Eh bien mal lui en a pris, cette énième incartade est la goutte d‘eau qui a fini par faire déborder le vase et maintenant il doit en subir toutes les conséquences criminelles, civiles, et juridiques de ses actes car nul ne peut éternellement prétendre ignorer la loi.
Autant soit peut qu’il soit mis hors d’états de nuire à travers une peine maximale de plusieurs années de prison ferme, de déchéance de sa carte verte, de sa nouvelle citoyenneté tant convoitée, et d’expulsion du territoire Américain, que diront les détracteurs de la majorité républicaine pour l’émergence?
De par sa supposé double nationalité américaine et gabonaise, l’ignoble agresseur embarrasse au plus haut niveau les relations diplomatiques entre ces deux nations alors qu’elles sont sans cesse renouveler, redynamiser et réaffirmer lors des rencontres entre les deux Chefs d’Etats.
En sa qualité de citoyen américain, et de par les principes de compétence territoriale par rapport à l’acte d’agression commis, l’inculpé sera traduit devant les tribunaux de son pays d’accueil. A plusieurs égards, les faits qui lui sont imputables sont assimilables à des actes terroristes envers le représentant d’un pays ami des Etats-Unis d’Amérique, et qui est endroits aux conventions de Genève quant à la sécurité des biens et des personnes diplomatiques.
Son Excellence Michael Moussa Adamo, a été lâchement et froidement agressé par un américano-gabonais ayant clairement renoncé aux débats d’idée au profit d’une violence verbale et physique sans limite. Dieu seul sait de quoi il en est capable.
L’un des Ambassadeurs de la Nation Gabonaise et du Peuple Gabonais, Notre Ambassadeur aux Etats-Unis d’Amérique, a été lâchement et froidement agressé par un américano-gabonais, dans le plein exercice journalier de ses fonctions régaliennes. Le gouvernement américain ne peut passer sous silence pareil acte malveillant et se doit d’y apporter les réponses les plus appropriées.
Il est clairement établi que ce jour du vendredi 9 décembre 2011, après avoir eu à accompagner ses invités du moment, à savoir un Ancien Sénateur Américain, un Ancien Ambassadeur Américain au New-Zélande et un Officier du Contreterrorisme au FBI à la retraite, Notre Ambassadeur a été lâchement et froidement agressé par un américano-gabonais visiblement déterminé à porter atteinte à son intégrité physique, physiologique, psychologique, psychosomatique, morale, professionnelle, et familiale. Que dire de l’état psychologique et émotionnel de son épouse, ses enfants, son staff, et l’ensemble du corps diplomatique accrédité aux USA?
Comme l’attestent, le certificat médical, et les différentes dépositions de témoins oculaires aussi bien anonymes que de hauts rangs, Notre Ambassadeur a été lâchement et froidement agressé par un américano-gabonais ayant visiblement prémédité ses actes car petit à petit, les langues se délient auprès de son cercle d’amis vue que des séances de brainstorming ont eu lieu entre eux afin d’apprécier à juste titre les peines encourus en cas d’agression physique sur autrui. De ce cercle d’ami a retenti l’expression ‘’ next is the president’’ suite à l’acte odieux commis par leur homme de basses besognes.
D’ailleurs l’un d’entre eux n’a-t-il pas dit « de tout façon, notre objectif a été atteint » lord d’une émission communautaire sur une radio-internet de la diaspora africaine, dimanche 11 décembre 2011.
N’eut été la grâce de DIEU, Notre Ambassadeur aurait pu filament heurté les barres métalliques lors de sa chute suite aux coups portés sur sa personne et le pire aurait pu se produire. Face à cette macabre éventualité évitée de justesse, que aurait qui l’opposition prompt à justifier l’injustifiable lorsque l’un des leurs en est l’auteur?
Vu le fanatisme politique violant de la pseudo-opposition gabonaise de la diaspora, il est grand temps que les autorités américaines et gabonaises prennent à cœurs les questions de sécurité du personnel diplomatique et de leur famille. Espérons que des solutions idoines seront prises sans plus tardées.
Il est clairement établi que ce jour du vendredi 9 décembre 2011, c’est bel et bien un groupuscule revendiquant aux grès des humeurs l’appellation UPG Amérique du Nord ou UPG-USA, tandis que leur effectif ne se limite curieusement qu’à deux personnes, à savoir: un ex-pasteur auto proclamé, et un plagieur patenté, transfuge d’une éphémère plateforme citoyen, véritable incubateur de croquemitaines et mange mil de nouvelle génération.
En sa qualité d’organisateur de la manifestation, ce groupuscule avait l’obligation et la responsabilité de veiller à la sécurité des biens et des personnes se trouvant dans le périmètre d’action de leur sit-in, mais comme le démontre si bien l’actualité du moment, les deux organisateurs ont brillamment failli à leur devoir. Plutôt que de s’excuser par rapport à leur cuisant échec à protéger autrui et/ou de se dissocier de pareil acte de violence, ces derniers se livrent à des déclarations tonitruantes aussi confuses que contradictoires par rapport à l’agression commis par leur homme fort des basses besognes.
Jusqu’à ce jour, ce groupuscule n’a toujours pas condamné l’acte d’agression à l’encontre de Notre l’Ambassadeur et n’a point jugé utile et nécessaire d’exprimer ses sincères regrets et sa solidarité à l’endroit de la victime de leur sit-in. Est-ce à dire que c’était cela l’objectif et le but inavoué de leur protestation?
En l’espèce, il serait opportun pour l’administration américaines de ne plus accorder pareille autorisation de grève à ces UPGiste car ils sont incapable de veiller au bon déroulement de leur rassemblement sans causer préjudice à autrui. Il est important que la justice américaine puisse mener une enquête minutieuse sur chacun d’eux afin de mieux déterminer leurs degrés respectifs de responsabilité face à cette odieuse agression.
Notre Ambassadeur, est en droit d’initier des poursuites judiciaire au niveau des tribunaux civils contre ces organisateurs pour leur incapacité d’organisateur d’un sit-in ayant entrainée une agression physique sur sa personne dans l’exercice de ses fonctions.
Le cynisme de ces organisateurs est d’autant plus détestable et exécrable lorsque l’on sait combien de fois Notre Ambassadeur a été toujours bienveillant à leur endroit malgré les divergences d’opinion.
En effet, tenant à cœur le rassemblement de la diaspora gabonaise des USA pour plus de dynamisme et de productivité communautaire contribuant au développement durable du Gabon selon la feuille de route instruite par le Prédisent de la République, et ayant conscience de ses missions régaliennes auprès de tous les membres de la diaspora et cela sans distinction d’appartenance politique, ethnique et/ou clanique, la porte de Notre Ambassadeur, a toujours été ouverte pour les membres de la communauté souhaitant le rencontrer; et ces UPGiste en ont toujours tiré profit et avantages induits.
En l’espèce, il est clairement établi que durant les cérémonies de commémoration en l’honneur et en la mémoire de l’Illustre Député Pierre Mamboudou Mamboundou, Président de L’UPG, Notre Ambassadeur a spontanément assisté ces deux UPGistes tant dans la prise en charge globale des frais du service religieux que dans les frais de location de la salle et du traiteur à l’hôtel ayant abrité le recueillement communautaire.
Par ailleurs, se souciant très peu du devoir d’hospitalité lié à tout organisateur d’évènement, ces deux UPGiste arrivèrent en retard à l’Eglise alors que Notre Ambassadeur avec son épouse, ses enfants ainsi que tout le personnel diplomatique de l’Ambassade s’y trouvaient depuis plusieurs heures. Il en fut de même pour la réception, grillant toutes formes de politesses.
Allant de mal-en-pire, ces deux organisateurs nous offrent un spectacle désobligeant pour une formation politique qui se veut d’être l’union du peuple, bafouant sans vergogne ni remords les principes cardinaux du charismatique fondateur du Parti, à savoir que la violence, l’incivisme, le manque de discipline et de respect des symboles de l’état ne sont point admissibles. Nous sommes en droit de nous demander si ces deux fameux UPGiste sont réellement investis par l’autorité légale de ce parti. Ont-ils connaissance des droits et obligations des règles de leur parti? Car L’engagement au sein d’une formation politique ne s’improvise et ne bricole pas.
Comment ces deux pieds nickelés, ont-ils l’outrecuidance de parler au nom de la diaspora gabonaise alors que leur audience ne se résume qu’à un pellé et deux tondus? Cette propension à voir plus haut que leur ombrine est ahurissant. Qu’ont-ils donc fait pour cette diaspora gabonaise des USA pour qu’ils se prévalent de parler en son nom? Pensez-vous qu’à travers pareil acte malveillant et agressive, vous puissiez avoir une quelconque légitimité et crédibilité auprès de cette diaspora et des autorités américaines ou gabonaises?
Pour flatter leurs ego démesurés, ces deux pieds nickelés se donnent sans cesse en spectacle à travers les ondes d’une radio communautaire sur internet acquise à leur cause.
Que cette nouvelle génération de croquemitaine et mange mil se tient pour dit, la nouvelle administration gabonaise ne pliera pas face à ces formes obsolètes de chantage. Aucun avantage matériel et/ou pécuniaire ne leur sera servi pour monnayer leur silence et ou adoucir leur zèle politique.
Que ces néo-politiciens et ces activistes de tous genres se tiennent pour dit, s’ils-ont réellement l’ambition de contribuer de façon positive au bien-être de la cité gabonaise à travers un débat d’idées constructives, ils seront toujours les bienvenues mais le cas contraire, ils seront proportionnelles servis par rapport aux degrés de leur forfaitures par des citations à comparaitre devant les tribunaux compétents.
Pour Une Diaspora Unie Et Responsable, mercredi 14 décembre 2011, à Whashington DC
1. Fregis EFFAYONG
2. Jean Noël ABODOUME
3. Gadie OSSOUO
4. Flore BIYAYI
5. Laurette MVOURI
6. Guy Francia TOMBENENE
7. Philippe RENAMBO
8. Olga TOMBIETT
9. Emilie NKOMA
10. Marinette ANGUILET
11. Mireille LISSENGUET
12. Steve ALVARO
13. Dimitri DITOMBI
14. Hervé R. EPIE
15. Charle AZUI
16. John PENGHE-BOUROBOU
17. Antoinette NYOMBA
18. Max BIKALOU
19. Herve NEGUE
20. Naulin MOMBO
21. Mady TCHOUA-ANGORAN
22. Simplice EBINDA
23. Yaël Phylis AMVAME M’EDOU
24. Herman KAMONOMONO
25. Greg OZOUAKI
26. Martin WANYS
27. Sylvain ANGOUONO
28. Lico MOUNGUEGUI
29. Harold BOUKOUBI
30. Cedrick JOUMAS
31. Marcel SANDOUNGOUT
32. Jules OGOUEBANDJA
33. Stéphanie MINBOUI
34. Samba BABALA
35. Charly TOUNG
36. Jean Claude NZAMBA
37. Eric AKOGBETO
38. Eric ABOGHE NZET
39. Serge Moudouma
40. Tony BOUNGOU
41. Corret OSSAMI
42. Josépha BOULINGUI
43. Alberto MOUDOCKI
44. Younes RENTCHAOLT BALLEY
45. Darcy Hermann ONANGA
46. Cédric Salemba
47. Patrick MIKALA
48. Gaël OKIAS
49. Francis TOMBONENE
50. Bertin NGALIBIKA
51. Martin WANYS
52. Bertrand POATY KAMA
53. Jean Fulbert LOUNDOU
54. Corret OSSAMY
55. Edna OKIAS
56. Dimitri LOMBA
57. Terrence LINDZONDZO
58. Christian Nkombengnondo
59. Juldas MAKANGA
60. Cécile MPOLO
61. Davy Axel NZE AKOUE
62. Patrick G. IBINGA
63. Henri Noël NDONG
64. Richard Ricardo Mouangue
65. Serge Moudouma
66. Ghislain BOUKOUBI
67. Boris OVAKALAGA
68. Simplice MPOGUI
69. Dominique M. SIBY
70. Michael Ossiali Ongaye
71. Fanny ONDO
72. Max DIVAKO
73. Steven NDOYE
74. Karen OLERI
75. Jean Joël KOUMBA
76. Sévérin LAFOUMOU MOUPAYA
77. David Pierre PELLGRIN REBIENOT
78. Bertin NGALIBIKA
79. Yvon Patrick MEYE
80. Jordanya DINGUENZA
81. Charlotte COVINGTON
82. Yassine ALAO ALADE
83. Stella ODJA
84. Boris EYANG
85. Jean-Francois OWONO OBAME
86. Bérenger EDZIDZI OBAME
87. Boris OVAKALAGA
88. Yannick Freddy MAKOAH MOUELE
89. Wilfried EYI
90. Erick OBISSA
91. Jean-Luc ROGOMBE
92. Kevin MBOUMBOU ONDZOUNGA
93. Steeve BOUNDZANGA
94. Wally NDONG
95. Charley Obone Nkoulou
96. Igor MONSARD
97. Steeve NDONG OBAME
98. Tino MBADINGA
99. Loic EBBAH TALADJI
100. William EDZANG
101. Orphélie MOMOADJAMBO
102. Francis MALALOU
103. Anthony Christopher BOGA
104. Hans OTOUNGA
105. Boris EYANG
106. Estimee BOUABE NDJALATSIA
107. Axel Bertin ANTONIO
108. Glwadys Fély DONAH
109. Flore BIYAYI
110. Renaud Mousouda
111. Karl Stessy BISSIELOU MOUKAGNA
112. Serge Bruno MBOUISSOU
113. Malik A. LENDZONDZO
114. Léa Gina NYEMBO
115. Thérèse ABESSOLO
116. Florence BICHA
117. Pierre OMPIRE
118. Michelle MAGANGA
119. Rosalie MAGANGA
120. Jean Fidel KOUMBA
121. Olga Bella EKO
122. Jean Eudes BIGNANGOU
123. Axelle OBOUMA
124. Jean-Rive NDJEMBI
125. Hans OTOUNGA
126. Marie-Jeanne ABANDJA
127. Oumar Fofana NDJEMBI
128. Olga Ntombiet
129. Drick Aldi
130. Steeve alvaro
131. Jean Marie Mve Ondo
132. Patrick Doukaga
133. Pasey Stevy Mpiga Nstiba
134. Martial Allogho Meye
135. Cherryl Whiteplug
136. Gael OLERI
137. Betty MEYE
138. Johan MBOULET