mercredi 30 octobre 2013

#Gabon : A 4 year old girl victim of a ritual crime at Nkoltang

 (warning: graphic image)

A girl mutilated at Nkoltang 

VISION of horror Sunday night (October 27) at Nkoltang, cluster of villages located about thirty kilometers from Libreville (capital city of Gabon), on National Highway 1. 

A four year old girl, little Catherine, was brutally murdered by a man in his forties, Claude Emery Massandé, partner of his mother, Augustine Bendoum, 42 . 

The mutilated body of the girl was found in the evening lying in a pool of blood on the path leading to the Criminal's home. The gruesome discovery was made by the mother of the victim and her third daughter.

The latter had gone to meet his child when one of her daughters told her that her partner had left quietly to take little Catherine to his home in the outskirts of the village, while she was spending time with neighbors.


At first, Augustine Bendom had thought that his companion had taken his daughter to force her to go home to sleep. Along the way, his third daughter and herself crossed path with Massandé alone, carrying a plastic bag.


The man, obviously in a hurry, reassured his partner that he would return home after a few minutes. Arriving at her partner's home, Augustine Bendom discovered the unspeakable : the mutilated body of her daughter. "It has taken some organs away.
"There were signs of mutilation at the genitals", argued the mother of the little Catherine.

The corpse was almost decapitated. "The head is kept on the skin. There was a lot of body parts missing. He cut up the child, as a game", reported a family source, adding that the crime had been committed around 8 pm, after the forty years old man has returned from a trip to Libreville.


The news spread like wildfire. Young people offended by the killing embarked in a search for Claude Emery Massandé. But the man had already left to probably go deliver the ''parts'' to the recipient (sponsor). His act shocked the collective conscience in Nkoltang and beyond. Shortly before his crime, Claude Emery Massandé arrived with his uncle and his wife with a vehicle with an administrative (government) license plate. That evening, his uncle stopped by Augustine Bendom's home to place an order of cassava cuttings.


But was it really for cassava cuttings or something else? The investigation by the gendarmerie (military police) of Nkoltang, in search of the fugitive since Sunday, will unravel the «son of the skein». Some residents do not hesitate to believe that a car was waiting at the entrance of criminal's home and picked him up after his dirty work.


Massandé and Bendom Augustine have been dating for seven months. They visited each other regularly. He was unemployed and earned his living by selling tomatoes and pineapple. Did he received a large sum of money to commit a ritual crime and deliver human organs to a sponsor? Nothing is less certain.


Jonas Moulenda 

October 29, 2013

#Gabon: Une fillette de 4 ans victime d'un crime rituel à Nkoltang

(Avertissement: image choquante)
 
Assassinat

Une fillette mutilée à Nkoltang

VISION d’horreur, dimanche soir, à Nkoltang, regroupement de villages situé à une trentaine de kilomètres de Libreville, sur la Nationale 1.


Une fillette de quatre ans, la petite Catherine, y a été sauvagement assassinée par un homme d’une quarantaine d’années, Claude Emery Massandé, le concubin de sa mère, Augustine Bendoum, 42 ans.

Le corps mutilé de la fillette a été retrouvé dans la soirée gisant dans une mare de sang, sur le sentier menant au domicile du criminel. La macabre découverte a été faite par la mère de la victime et sa troisième fille.

Cette dernière était allée à la rencontre de son enfant lorsque l’une de ses filles l’a informée que son concubin était allé prendre discrètement la petite Catherine pour l’emmener à son domicile situé aux confins du village, au moment où elle veillait chez des voisines.

Dans un premier temps, Augustine Bendom avait pensé que son compagnon avait emmené sa fille pour la contraindre à aller dormir chez lui. En chemin, sa troisième fille et elle ont croisé Massandé seul, portant un sachet.

L’homme, visiblement pressé, a rassuré sa compagne qu’il reviendrait à la maison au bout de quelques minutes. En logeant vers le domicile de son concubin, dame Bendom a découvert l’innommable : le corps mutilé de sa fille. « Il a prélevé certains organes. Il y avait des traces de mutilation au niveau de l’appareil génital », a avancé la mère de la petite Catherine.

Le macchabée était presque décapité. « La tête ne tenait que sur la peau. Il y avait beaucoup de parties du corps qui manquait. Il avait dépecée l’enfant, tel un gibier », a rapporté une source familiale, précisant que le crime avait été perpétré vers vers 20 heures, après que le quadragénaire soit rentré d’une sortie à Libreville.

La nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre. Des jeunes offusqués se sont lancés à la recherche de Claude Emery Massandé. Mais le quadragénaire avait déjà quitté pour aller probablement livrer les ‘’pièces détachées ‘’ à leur destinataire. Son acte a choqué la conscience collective à Nkoltang et même au-delà.

Peu avant son acte criminel, Claude Emery Massandé était arrivé en compagnie de son oncle et de la femme de cette dernière à bord d’un véhicule à la plaque minéralogique administrative. Ce soir-là, son oncle s’était arrêté chez Augustine Bendom pour lui passer une commande de boutures de manioc.

Mais s’agissait-il vraiment de boutures de manioc ou d’autres choses ? L’enquête ouverte par la brigade de gendarmerie de Nkoltang, qui recherche le fugitif depuis dimanche, permettra de démêler les fils de l’écheveau. Certains riverains ne se privent pas de penser qu’une voiture attendait le criminel à l’entrée de chez lui et l’aurait embarqué après sa basse besogne.

Massandé vivait avec Augustine Bendom depuis sept mois. Ils se fréquentaient régulièrement. Il était au chômage et ne gagnait sa vie qu’en vendant des tomates et des ananas. Aurait-il reçu une importante somme d’argent pour commettre un crime rituel et livrer des organes humains à un commanditaire ? Rien n’est moins sûr.

Jonas Moulenda
29 Octobre 2013

lundi 14 octobre 2013

#GABON : UN GÉNÉRAL MENACÉ FAIT DANS L’ILLÉGALITÉ (ENROLEMENT ELECTORAL)



GABON : UN GÉNÉRAL MENACÉ FAIT DANS L’ILLÉGALITÉ

Suite à un bulletin de renseignements tombé sur la table de travail d'Ali Bongo, le Général Kouna, Chef d'état-major de la Garde Présidentielle appelée pompeusement "Garde Républicaine" s'est fait remonter les bretelles par l'occupant du palais du bord de mer, et remue ciel et terre depuis ce matin, pour réparer la faute qui lui est imputée.

En effet, le nombre d'électeurs des centres de votes de l'école pilote du centre et des écoles urbaines à considérablement baissé du fait que, plusieurs centaines de soldats de la Garde Présidentielle, dépourvus d'actes de naissance, de cartes d'identité ou de passeports, n'ont pu se faire enrôler pendant l'opération effectuée à cette effet, ces derniers n'ayant en tout et pour tout que leur carte professionnelle comme pièce d'identité. D'où l'ire d'Ali Bongo qui a vu en cette situation, une perte considérable de voix pour sa liste du 3ième Arrondissement de Libreville.

Sommé de trouver une solution, le Gle Kouna a réussi à trouver ce jour 14 Octobre 2013, un créneau illégal pour faire enrôler clandestinement et dans l'illégalité totale, ses troupes sans pièces d'identité.

Comme quoi, si l'opération officielle d'enrôlement est terminée pour certains gabonais, elle continue pour d'autres, à l'exemple des gépéens qui se font enrôler depuis ce matin et à qui ont octroiera des fausses cartes d'identité nationales et des faux passeports pour voter pendant les locales.

Mais qui a dit à Ali que dans l'isoloir, ces soldats voteront pour la liste conduite par sa mère, la véritable tête de liste ?


Le Sphinx

Autre article sur le Général Kouna