Ali Bongo's party must act now against ritual crimes
Libreville April 7, 2013. Based
on first hand information, members of the political party PDG or Parti
Democratique Gabonais (Ali Bongo’s party in Gabon) will write a resolution on
ritual killings. Lets make it clear right now: members of PDG refuse to
recognize the reality of ritual crimes, which are nevertheless planned and
organized by the members of this Party.
For being
the political party in power for 46 years, PDG has full responsibility for
ritual crimes in Gabon. Several personalities of this Party have been cited in ritual
crime cases throughout the country. Given the extent of and charges against the
PDG, it is very urgent for this Party to abandon the “law of Omerta” (law of
silence) and engage in a genuine rupture with practices of human sacrifices, as
means of keeping power and all its benefits, and to gain high ranks within the
political elite. The PDG must officially condemn the ritual crimes and engage
the party leaders involved - as executors or sponsors – in these acts of
abominable darkness to be the disposal of the Justice system.
The
PDG must let the courts act freely and independently without any interference
of the Executive power, which is part of the PDG. In the meantime, the Gabonese
people, traumatized and tortured by the death squads of the PDG, expects that
all ritual criminals related to the PDG, who have cases pending in Libreville,
Oyem, Lambaréné, Mouila, Tchibanga, Makokou Boué, Franceville, Port Gentil,
Bitam and Bikélé, will be heard in Court: the names of these PDG members
recognized to be human flesh eaters and blood drinkers were regularly published
in the press and on the net. We ask the PDG to stop with the lies and with the
protection of criminals and act now: From all members of PDG, we want a solemn
commitment and unwavering determination to eradicate ritual crimes.
Georges
Mpaga
Spokesperson
of the Civil Society
Ça
Suffit Comme Ça (Enough is Enough).
Original in french
Les
PDGistes d’après des informations à notre possession , feront une résolution
sur les crimes: une remarque s'impose à première vue: Les PDgistes refusent de
reconnaitre la réalité des crimes rituels planifiés et organisés par les
membres de ce parti.
Formation
politique pouvoir depuis 46 ans, le PDG a une entière responsabilité sur les
crimes rituels au Gabon. Plusieurs personnalités du PDG ont été cités dans les
affaires de crimes rituels à travers tout le territoire national. Compte tenu
de l'ampleur du phénomène et des accusations portées contre le PDG, il est plus
qu'urgent pour ce dernier de sortir de loi d'omerta pour s'engager
véritablement dans une rupture avec la pratique des sacrifices humains comme
moyen de conservation du pouvoir, des avantages et d'élévation politique. Le
PDG doit officiellement condamner les crimes rituels et mettre à la disposition
de la justice, les dirigeants du parti impliqués en tant que qu'exécutant ou
commanditaires de ces actes ténébreux et abominables.
Le
PDG doit laisser les tribunaux agir en toute liberté et indépendance, sans
aucune interférence du pouvoir exécutif qui est aussi une émanation du PDG.
Dans l'immédiat, la population gabonaise, traumatisée et martyrisée par les
escadrons de la mort du PDG attend la comparution de tous les criminels rituels
du PDG qui ont des dossiers pendants à Libreville, Oyem, Lambaréné, Mouila,
Tchibanga, Makokou, Boué , Franceville, Pori-gentil, Bitam, Bikélé : Les noms
de ces PDGistes mangeurs de chair humaine et buveur de sang ont régulièrement
été publiés dans la presse écrite et sur le net. Nous demandons au PDG
d’arrêter avec le mensonge et la protection des criminels et de passer
maintenant aux actes: Nous voulons un engagement solennel et une détermination
sans faille à éradiquer les crimes rituels de la part de tous les PDGistes.
Georges
Mpaga
Porte-parole
Société civile
Ça Suffit Comme Ça
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